Oh! toi, ma belle oriflamme,
de mon pauvre et chaleureux cour,
que tu as su mettre en flamme,
et que tu rempliras de bonheur,
en devenant ma douce femme.
Ecoutons la vraie raison.
Prévoyant de beaux rêves,
Et, la mélodieuse chanson
du grand amour sans trêve.
Lorsque, je t'embrasse dans le cou,
Je sens que tu seras mon mage.
De ta main me caressant la joue,
me dit un certain mariage,
qui me rendra véritablement fou.
Tout deux, nous aurons de beaux pages.
Je ne crois pas à l'humour,
car fermement, je t'aime,
et, je tiens à ton amour.
C'est prouvé par ce poème.
Je possède une très grande foi.
Tu m'as éveillé par tes yeux d'or,
Et échauffé de ta douce voix.
Je mets ma confiance en toi,
Et je t'avoue que je t'adore.
Toi charmante et belle,
ne viendrais-tu pas vivre
avec moi, sans rebelle.
Je referme ce livre.
Jean Claude